Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 8 ans
Paul était depuis son arrivée considéré comme le beau gosse de l'école par les filles qui n'en avaient que pour lui. Des Paul par ci, des Paul par là....Bref, à presque 15 ans, lui qui venait à peine de débarquer dans notre collège, il était entrain de se tailler en simplement quelques semaines, une réputation de Don Juan dont-il il usait et a b u s a i t, nous faisant comprendre que nous étions de la m.....e par rapport à lui.
Prétentieux comme pas deux, ravis de voir lui tourner autour, autant de filles qui nous regardaient comme des "puceaux" indignes de leurs faveurs.
Depuis maintenant un mois que la rentrée des classes avait eu lieu, il continuait à nous snober, préférant parader devant les filles qui espéraient toutes sortir avec lui. Paul imbu de sa personne continuer à faire le fanfaron qui retarde son choix pour mieux se faire désirer.
Nous autres nous n'existions même plus et chaque fois que l'un de nous cherchait à draguer une fille, c'était le râteau assuré. La situation devenait désespérante et je commençais à en avoir plus que marre de supporter ce coq prétentieux qui nous snobait en se prenant pour la star de l'école.
Mais quelque fois les hasards font bien les choses. Quelques jours plus tard rentrant chez moi par le chemin de fer, lorsque j'aperçus à quelques mètres de moi, dissimulé par les bosquets, une personne accroupie qui manifestement était entrain de se soulager à l'abri des regards. Me tournant en partie le dos, c'était impossible de me voir arriver. Je me cachais derrière un arbre et de là je pus assister sans être vue à toute la scène. Je reconnu immédiatement Paul accroupi les fesses à l'air entrain de pousser de toutes ses f o r c e s pour évacuer ce qui semblait lui demander un réel effort. Comme il semblait passablement constipé et que la position devait lui être inconfortable, il se releva pour changer de position et se déplacer légèrement.Il se releva laissant sur ses chevilles slip et pantalon.Je pus le détaillé pendant de longues secondes, le temps pour lui de reprendre son souffle avant de s'accroupir de nouveau.
A ma grande surprise le jeune garçon était totalement imberbe et pour couronner le tout, son sexe ne devait pas faire plus de trois à quatre centimètres de long et à peine plus de deux centimètres de large. La taille d'un zizi de nouveau né. Certain d'être seul, il prenait son temps et je pus pendant de longues minutes observer en détail son anatomie tout à fait particulière.
Il me faisait face, mais été tellement concentré sur ce qu'il avait à faire qu'il fixait béatement le sol attendant que son ventre veuille bien se vider. Ses jambes largement écartées, je pouvais distinguer parfaitement face à moi son micro pénis et les deux minuscules testicules qui n'arrivaient pas à pendre entre ses jambes. Si j'avais du donner un âge sur photo à ce "costume trois pièces" j'aurais juré qu'il s'agissait du sexe d'un e n f a n t de cinq ans maximum.
Caché derrière mon arbre je devais maintenant attendre qu'il est fini, sous peine d'être découvert. Et comme je compris que l'heure de notre vengeance venait de sonner, je fis en sorte de ne pas faire de bruit pour ne pas être découvert.
Une fois enfin soulagé et torché, il se releva, se retourna pour admirer son étron de Don Juan et manifestement satisfait il commençât à remonter son slip sur le ridicule pénis qui me faisait face. Reprenant son cartable posé à terre, il retourna sur le chemin et continua sa route pour rentrer chez lui.
Le soir même j'avertis mes meilleurs amis de ma fabuleuse découverte qui allait, si l'on savait gérer bien la suite, nous permettre de faire descendre Don Juan de son pied d'estal.
Quelque jours plus tard, Mme Guérin notre prof de sport nous annonçât exceptionnellement elle avait pu obtenir que tout le collège bénéficie gratuitement de la piscine couverte, et le mercredi suivant c'est tout le collège qui prît la direction de la piscine municipale.
Ces quelques jours, nous avaient permit de concocter un plan d'action diabolique pour nous venger de Paul.
Marc connaissait parfaitement la configuration de la piscine car son père y travaillait. La veille il avait caché à coté du vestiaire des hommes le matériel que nous avions décidé d'utiliser pour mettre à exécution notre plan.
Les vestiaires des femmes n'étaient séparés de celui des hommes que par un couloir d'une dizaine de mètres maximum et cela allait nous faciliter grandement la tache. C'était la première fois que nous allions devoir nous déshabiller entre garçons et nous étions quatre à connaître la particularité physique de Paul. Allait-il assumer devant nous et nous dévoiler le plus normalement du monde son minuscule pénis ?
Nous comprimes rapidement que Paul ne tenait pas le moins du monde à montrer à tous les garçons sa ridicule virilité. Se dirigeant immédiatement dans un coin du vestiaire, il posa rapidement son sac sur le bans pour marquer son territoire et tournant le dos à tout le monde, il se dépêcha de se changer le plus discrètement du monde et d'enfiler un maillot de bain. Nous avions parfaitement analysé la situation. Paul, le Don Juan, ne tenait absolument pas à assumer son "handicap" et à le faire partager aux autres garçons.
Lorsqu'il se retourna, nous eûmes la grande surprise de voir le slip de bain de Paul rempli par une bosse qui de part sa proéminence attestait d'un membre pour le moins conforme à son statut de don Juan. Nous nous regardions interloqués, avant de vite comprendre que Paul avait du dissimuler dans son maillot de bain du coton ou autre chose pouvant donner l'illusion que son maillot était correctement rempli.
Il nous fallait maintenant agir très vite pour que notre plan réussisse. Marc était parti rapidement chercher le sac dans lequel nous avions rangé notre matériel. Une fois revenu dans le vestiaire et profitant d'un instant ou Paul se retournait pour ranger ses affaires dans son sac, tous les quatre ensembles, selon un scénario bien orchestré, nous fondions sur lui.
Pendant que Marc lui passait une cagoule en tissu sur la tête pour qu'il ne puisse pas reconnaître ses agresseurs, Pierre et moi lui prenions les bras pour les maintenir dans son dos. Hervé avait pour mission de lui passer autour des poignets un gros "serflex" en plastic, identique à ceux dont les soldats américains se servent pour attacher rapidement leurs prisonniers. Une fois que vous l' avez serré autour des poignets, impossible de l'enlever, il faut le couper avec une pince ou un couteau très tranchant. Le piège parfait !!!
La première partie de notre plan n'avait pas duré plus de vingt secondes, sous les regards étonnés de tous les autres garçons qui comprenaient soudain que Paul était victime d'un bizutage en règle. Pour éviter qu'il ne hurle et ameute le professeur, Marc avait également apporté un large rouleau de tissu adhésif qui après plusieurs tours effectués autour de sa tête lui interdisait d'émettre le moindre son audible et compréhensible. Parfaitement bâillonné,l'adhésif empêchant de surcroît d'ôter facilement la cagoule il nous restait maintenant à passer à la phase suivante de notre plan.
Ravis de voir que Paul allait subir quelque chose qui risquait de mettre à mal son arrogance, aucun d'eux ne fit le moindre geste pour lui porter secours. Mieux même, ils firent une haie d'honneur lorsque nous décidions de le sortir du vestiaire.
Les mains attachés dans le dos et la cagoule bien enfoncée sur la tête, il ne pouvait que subir notre volonté. Il mugissait de rage et essayer de se débattre, mais Marc eu vite fait de le calmer: Une v i o l ence tape sur les fesses eut un effet immédiat et Paul compris immédiatement qu'il valait mieux ne pas insister.
Une fois devant le vestiaire des filles, Hervé prit la paire de ciseaux que nous avions emporté et en deux gestes aussi rapides que précis, il coupa de chaque coté le tissu en nylon, faisant tomber à ses pieds, le maillot coupé en deux et le petit paquet de coton qui lui servait de faire valoir dans son slip. Paul se retrouvait maintenant entièrement nu, le spli de bain coupé en deux et posé sur ses pieds, la boule de coton entre ses pieds, les mains liés dans le dos et toute fuite rendue impossible par la cagoule scotchée sur sa tête. Le piège diabolique fonctionnait à merveille.
J'ouvrais rapidement la porte du vestiaire des filles afin que Marc et Pierre puissent le pousser à l'intérieur en faisant bien attention que son maillot et le paquet de coton accompagnent son propriétaire.
A peine la porte refermée, de grands éclats de rires témoignèrent de notre victoire. Mais ne souhaitant rien perdre du spectacle, au risque de nous faire refouler du vestiaire, nous décidions de rouvrir la porte pour voir la réaction des filles.
Elles avaient toutes eu le temps de se changer et de se mettre en maillot de bains. Lorsque nous décidions de rentrer dans leur vestiaire en leur faisant signe de ne pas parler, aucune ne nous refoula. Ravis de notre idée de bizutage, plusieurs filles étaient déjà allé chercher leurs téléphones portables pour filmer et photographier la scène. la presque totalité des filles étaient maintenant face à Paul qui complètement désorienté ne pouvait qu'entendre les rires de filles qui commençaient à faire des commentaires à haute voix en même temps que les clichés et les vidéo pour U tube s'enregistraient dans les téléphones portables.
Les mains dans le dos, Paul ne pouvait soustraire au regard des filles son minuscule pénis et aveuglé et réduit au silence par la cagoule et le bâillon, il ne savait quelle attitude adopté, ne pouvant se déplacer sans risque de chuter sans pouvoir se protéger.
Une fille qui devait avoir une dent contre lui, s'avance et lui tira le sexe vers le haut pour essayer de le faire grandir.
-
regardez les filles, et c'est avec ça entre les jambes qu'il se prend pour Casanova , cette petite bite ?
-
regarde il a aussi de toutes petites roubignoles, il doit encore faire pipi au lit, renchérie une autre.
Un rire collectif indescriptible envahi le vestiaire. De peur d'être découvert nous décidions de quitter le vestiaire et d'abandonner Paul à son triste sort. A l'intérieur du vestiaire, les filles continuaient à se régaler du spectacle et de la bonne farce que nous avions joué à celui qui allait désormais avoir la réputation de la plus petite bite de la ville.
Une des filles remarqua la boule de coton et comprenant le rôle qu'elle jouait, elle la brandit en l'air en disant à toutes filles:
- Regardez les filles il met du coton dans son slip pour faire croire qu'il a des couilles et une grosse bite.
Paul ne savait plus comment faire pour cacher sa nudité et faire cesser toutes les moqueries qu'il en tendait.
-
Tu crois qu'il arrive à bander avec un si petit pinceau ?
-
Je suis sur qu'il se fait pipi sur lui quand il va au wc.
-
Retrousse lui le gland pour voir sa réaction.
Etc , Etc...........
A aucun moment il n'entendait quelqu'un proposer de le détacher pour arrêter son humiliation devant toutes ses filles qui maintenant allaient avoir toute l'année pour se moquer de lui.
Pire, les filles s'enhardissaient et certaines prenaient carrément dans leurs mains ce tout petit appendice, espérant secrètement réussir à le faire grossir.
Soudain la porte claqua et le silence se fit immédiatement dans le vestiaire. Madame Guérin venait de pénétrer dans le vestiaire et tombait nez à nez avec un spectacle qu'elle n'aurait jamais pu imaginé même dans ses rêves érotiques les plus fous. Paul ayant compris que quelque chose de nouveau se passait, se mit à gémir et à gesticuler.
Amusé par le comique de la situation, Madame Guérin, prît le parti d'en rire et fit en sorte de prolonger son propre plaisir en humiliant un peu plus cet élève que manifestement elle n'appréciait que très moyennement, ayant déjà été informé de sa suffisance et sa prétention.
Elle commençât par défaire le Scotch qui lui recouvrait la bouche et qui retenait aussi la cagoule. Une fois l'adhésif enlevé, elle ôta de sa tête la cagoule, lui permettant de voir qu'il se retrouvait face à une trentaine de filles qui depuis pas mal de temps le décortiquaient de la tête au pied et qui savaient maintenant qu'il n'était pas un Rocco Siffredi. Elle prenait son temps, faisant durer le plaisir afin de permettre aux filles de se rincer l'oeil à bon compte.
Il essaya maladroitement de cacher sa nudité en s'accroupissant. La prof de gym lui dit immédiatement de se tenir de bout si il voulait qu'elle arrive à le détacher. Au comble du désespoir et de la honte, il baissait les yeux pour éviter d'affronter le regard des filles, acceptant par là même la demande de la prof.
- Allez me chercher un couteau ou une paire de ciseaux, que je puisses détacher ce pauvre garçon.
Pendant ce temps, Paul virait littéralement au rouge pourpre tant l'humiliation qu'il devait subir lui faisait monter le rouge aux joues. Les filles continuaient de rires entre elles du comique de la situation. Ce n'était pas tous les jours que l'on avait un tel spectacle à se mettre sous les yeux. Les plus jeunes quand à elles devaient découvrir que chez les garçons la taille du sexe pouvait être aussi différentes que la forme des seins chez les filles.
Anéanti par cette humiliation publique il n'avait même plus la f o r c e de réagir ni même de chercher à se cacher dans un coin du vestiaire. Il restait là debout la tête baissée regardant désespérément le carrelage comme si celui-ci pouvait lui venir en aide.
Les filles essayaient discrètement de continuer à conserver des images du spectacles sur leurs téléphones. Lorsqu'une des élèves revint au vestiaire munie d'une paire de ciseaux, madame Guérin commençât à essayer de libérer Paul de son lien. Mais le plastic était d'excellente qualité et malgré tous ses efforts, elle n'arrivait pas à entailler le plastic.
- Il va falloir aller chez le concierge pour qu'il trouve une solution, annonça la prof avec un air malicieux qui trahissait un véritable plaisir à voir cette situation se prolonger et poursuivre le supplice de Paul.
Prit d'un soudain tremblement incontrôlable, Paul osa interpeller Madame, Guérin:
-
Madame, je ne peux plus tenir, il faut que j'aille aux toilettes.
-
Mais ne vous gênez pas mon garçon les toilettes sont justes derrière vous.
-
Mais madame, j'ai les mains attachés dans le dos, je ne vais pas y arriver.
-
Vous ne voulez tout de même pas que je vous accompagne aux wc ?
La discussion tournait elle aussi au cauchemar. Voulant à tout prix éviter de faire durer sa station debout au milieu du vestiaire, au risque de se faire sur lui, il prit l'initiative de se diriger aux toilettes en demandant à Madame Guérin de lui ouvrir la porte.
Ce qu'elle fit avec un sourire au lèvres.
Paul n'eut que le temps de poser ses fesses sur la cuvette des wc et toutes les filles encore présente dans le vestiaire purent entendre Paul se vider en un flot continu. Magnanime, Madame Guérin avait prit la pousser la porte afin de lui préserver une relative intimité. tout en conservant un oeil discret sur lui au cas ou il aurait glissé en s'asseyant sur la lunette des wc.
Réalisant qu'il ne pourrait pas s'essuyer les fesses, Paul hésitait maintenant à se lever, sachant pertinement qu'il allait devoir s'afficher et se déplacer les fesses non torchées. Le pire était à redouter.
- Jeune homme, dépéchez vous, je vous attend, il faut aller à la conciergerie pour essayer de couper votre lien.
Impossible de rester plus longtemps assis sur la cuvette. Paul du se lever et tentant de serrer le plus possible ses fesses d'a d o l e s c e n t , il se dirigeât d'un air emprunté vers la prof.
- Passez moi une serviette, que je cache ce zizi et cette paire de fesse. Mme guérin employait volontairement un langage e n f a n t in pour accentuer un peu plus la particularité qu'elle avait aussi sous les yeux depuis plusisurs minutes.
Ayant récupéré la serviette d'une élève, elle en fit un pagne autour de la taille de Paul.
Maintenant relativement présentable, elle décida de le sortir du vestiaire pour le conduire jusqu'au bureau du concierge. Située à l'entrée de la piscine, il fallait remonter tout le couloir, puis descendre dans le hall d'entrée commun avec la salle omnisports.
Lorsque Paul et Mme Guérin arrivèrent au bout du couloir, la nouvelle avait due circuler dans tout le complexe sportif car un nombres incroyable de jeunes élèves d'autres collèges et lycées étaient debout dans l'entrée à regarder un prof de sport tenir par le bras un garçon de 15 ans vêtu simplement d'une serviette éponge autour de la taille, les mains dans le dos et la démarche étonnamment contractée.
Il leur fallait maintenant descendre les trente marches de l'escalier qui rejoignait le hall d'entrée.
Madame Guérin surprise et ravis intérieurement par le nombre de jeunes spectateurs, fit en sorte de descendre le plus lentement possible les escaliers. La moitié des marches avaient été descendues lorsque la catastrophe pour Paul se produisit.
La serviette se desserra subitement de son tour de taille, et d'un seul coup elle tomba de tout son poids sur les marches de l'escalier, étalant devant tous les élèves présents, sa nudité. Un éclat de rire collectif de tous les élèves qui avaient sous les yeux un spectacle totalement surréaliste. Paul leur faisait face, son sexe minuscule recroquevillé sur ses deux petites testicules, incapable de cacher son intimité au regards de tous ses inconnus.
C'était l'horreur totale. ne sachant comment réagir et ne souhaitant pas prolonger plus longtemps l'humiliation de Paul, Mme Guérin lui reprit le bars en le tirant en avant pour rejoindre au plus vite la conciergerie en dévalant au pas de charge le reste des escaliers. Sous les regards moqueurs des garçons et des filles qui s'effaçaient sur leur passage, il du traverser tout nu le hall d'entrée avant de suivre la professeur dans le bureau du concierge.
La porte refermée, il entendait encore les rires des élèves. Face à lui, il avait espérer un instant trouver un homme qui puisses l'aider, mais c'était une grosse femme d'une cinquantaine d'année qui lui faisait face.
-
Mon mari est sortie en ville, en quoi puis je vous aider demanda t-elle à Mme Guérin, faisant comme si Paul n'existait pas.
-
Ce jeune garçon s'est mis dans une situation un peu compliquée et il faudrait pouvoir lui détacher les main pour qu'il puisse aller se rhabiller.
La concierge daigna porter son regard sur Paul qui n'osait pas la regarder en face.
- Passez dans la pièce derrière qui sert de salle de soins. Allongez le sur la table de massage.
Incapable de réagir, Paul ne pouvait qu'obéir et il dut commencer à poser un pied sur le petit escabeau pour s'allonger sur la table.
Mais son supplice était loin d'être finit !!!
Au moment il s'allongeait sur la table, ces fesses qu'il n'avait pu essuyer aux wc, laissèrent échapper "les restes" qu'il avait pu réussir conserver entre ses cuisses serrée du mieux possible pendant tout le trajet. Repris d'un tremblement incontrôlable, il ne put empêcher que la grande table blanche ne se retrouve souillé de ses propres e x c r é m e n t s. Une odeur insupportable fit hurler de rage les deux femmes qui assistaient contraintes et f o r c é es à ce spectacle pestilentiel.
- Petit salopard, tu ne peux pas te retenir, lui cria aux oreilles la concierge.
Prise d'une rage incontrôlable, la grosse femme prit dans ces mains une S a n g le de cuir qui était posée sur le dossier de la table de soins et le regard sévère envers Paul, elle commençât à lui fesser le derrière pour le punir d'avoir osé déféquer devant elle sur la table de soin qu'elle allait devoir nettoyer avant l'arrivée de son mari.
Une série de dix coup sur les fesses qui rougissaient à vue d'oeil heureusement interrompue par Mme Guérin qui venait de comprendre que si elle n'intervenait pas, la concierge allait blesser le jeune garçon dont le supplice allait lui laisser suffisamment de traces.
Vexée d'avoir été interrompue dans son châtiment par la prof de gym, la concierge prit paul sous le bras et l'obligeât à la suivre jusqu'à la salle de bain qui se trouvait derrière la salle de soins. Une douche italienne à même le sol se trouvait dans le coin de la pièce et elle le poussa à l'intérieur sans ménagement. Elle ouvrit le mitigeur et sans attendre que l'eau soit chaude elle régla le jet de la douche sur la position la plus forte et commençât à le diriger sur tout le corps de Paul le laver intégralement.
- Tourne toi, écarte les jambes et penche toi en avant, il faut que je te récure le trou du cul petit salopard. Tu en as foutu partout de ta m....e.
Incapable de s'opposer à cet ordre, il s'exécuta et se tournant face au mur, il écarta ses jambes comme demandé en se pencha en avant, dévoilant du même coup la raie de ses fesses au fond de laquelle son anus se contractait sous la pression du jet d'eau.
La concierge continuait de le laver de fond en comble, ne faisant que peu de cas du fait qu'il avait les mains toujours attachées dans le dos.
- Sort, il faut que l'on te sèche un peu.
Elle lui déposa un peignoir sur les épaules, ce qui eu pour effet de cacher partiellement sa nudité, mais au point ou il en était, plus rien en pouvait maintenant être pire que ce qu'il avait vécu ses dernières heures.
Laissant Paul dans la pièce avec Mme Guérin toujours aussi impassible et muette, elle partit à la recherche d'un outil capable de couper le dur plastic du "serflex". Elle revint portant à la main une pince coupante de bonne taille. Elle lui enleva à nouveau le peignoir. Nu et la peau encore mouillée, il dut attendre quelques longues minutes pour que la concierge réussisse à couper le plasti
Un coup sec, la tenaille venait de trancher le serflex, libérant les mains de Paul, qui immédiatement les devant lui pour cacher son sexe. Un geste bien inutile tant les deux femmes avaient eu le temps de détailler son intimité. La prof de gym prit la parole:
- Pour te punir de tes cochonneries, tu vas retourner au vestiaire dans cette tenue, cela te fera réfléchir aux bonnes manières.
Pétrifié de honte à l'idée d'avoir à sortir nu dans le hall de la piscine, il osa parler.
- Pitié Madame, pas ça, je ferai n'importe quoi,mais pas ça, demandez moi ce que vous voulez.
Les deux femmes se regardèrent avec un air complice, comprenant immédiatement les avantages qu'elles pouvaient tirer de la situation.
-
Si tu veux sortir habillé de cet endroit, tu vas devoir accepter deux choses. Ta professeur va t'administrer une fessée afin que tu comprennes bien qui commande et une fois que tu auras reçu 50 claques sur les fesses, tu devras t'occuper de moi. Mon mari ne m'a jamais fait de cunilingus, tu vas donc t'occuper de mon sexe pour me faire jouir. Si tu arrives à me faire jouir avec ta langue, tu seras récompensé et je te donnerais de quoi t'habiller, sinon tu seras poussé dehors complètement nu, a toi de choisir.
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Pitié pas ça, je ferais comme vous voulez.
Ne voulant pas lui laisser le temps de changer d'avis et ravie d'avance du plaisir qu'il pourrait lui donner, la concierge prit Paul par le bras et le conduisit à nouveau sur la table de soin.
- Allonge toi sur le ventre et attr a p e les pieds de la table avec tes mains. Une fois allongé sur la table, Paul compris que la concierge allait faire en sorte qu'il ne puisses plus bouger ni se défendre. Elle lui attacha les mains aux pieds de la table en se servant d'un gros rouleau de sparadrap médical. Puis elle lui écarta les jambes et cette fois, elle se servit des deux S a n g les de cuir pour lui maintenir les chevilles écartées. Une fois attachées aux emplacement prévus à cet effet, Paul ne pouvait plus resserrer ses jambes. Son petit sexe et ses petites testicules s'exposaient impudiquement à la vue des deux femmes.
Il fermât les yeux, résigné à attendre son châtiment.
-
Tenez prenez ça, dit la concierge à Mme Guérin en lui tendant une tapette à mouches qu'elle venait de récupérer dans un placard.
-
Il doit en recevoir 50 et pas un de moins. Et s'il se met à crier, on recommence à zéro !!!
Mme Guérin commença à lui frapper les fesses sans v i o l ence, mais fermement. Au dixième coup, la concierge interrompit la fessée.
- Plus fort, lui intima la concierge, il faut qu'il s'en rappelle toute sa vie.
Mme Guérin se décida à taper avec plus de f o r c e . les fesses de Paul se contractaient naturellement à chaque coup. De légères traces rouges commençaient à zébrer ses deux fesses imberbes. Il ne fallait cependant pas le blesser, mais simplement l'humilier en lui donnant une véritable fessée dont il se souviendrait longtemps.
Paul accepta sa fessée jusqu'au dernier coup sans jamais oser lâcher un cri; Il serrait les dents de peur de se laisser aller et de risquer la honte de ressortir nu de la conciergerie.
La grosse femme s'approcha de sa tête et se mit à modifier la table de soins. Le haut de la table ou reposait la tête de Paul, se rabattait complètement vers le bas, libérant la tête du jeune homme qui se trouvait maintenant dans le vide.
Elle se mit face à lui et de manière totalement impudique, elle fit glisser au sol, sa jupe à carreaux. Paul avait en face de lui un énorme slip de coton blanc. La concierge visiblement excitée par la situation tout à fait irréelle, fit descendre sa culotte sur ses chevilles. Malgré ses rondeurs importantes, elle avait un ventre ferme et un pubis épilée comme une jeune fille. Paul ne pouvait détacher son regard du sexe rose aux grandes lèvres brunes qui lui faisaient face.
La concierge approcha sa vulve de sa bouche et le tenant par les cheveux pour soulager le poids de sa propre tête, elle lui intima l'ordre de commencer à lui lécher le clitoris, écartant avec les doigts de son autre main, les grandes lèvres brunes. Paul dut tirer sa langue au maximum pour atteindre le clitoris de la grosse femme.
Il commença à lui lécher à grands coups de langue, l'ensemble de son sexe et il sentit au bout de quelques minutes, couler sur sa langue le témoignage de son orgasme aussi rapide que conséquent. La concierge gémissait de plaisir, tirant les cheveux de Paul pour lui faire bien comprendre qu'il lui fallait continuer à lui donner du plaisir.
La prof assistait à la scène avec une curiosité évidente, mêlée de plaisir intérieur inavouable. Ce que Paul, ni Mme Guérin ne pouvait deviner c'était que la concierge allait se révéler être une véritable femme fontaine. C'est au moment ou le jeune garçon s'y attendait le moins, qu'il reçut en plein visage un flot continu de liquide qui n'avait ni le goût, ni l'odeur de l'urine. Sa tête toute entière était trempée du liquide inconnu pour lui qui continuait à s'échapper du sexe de cette inconnue.
La concierge ne put retenir un long cri de plaisir. Prise de tremblements incontrôlables, elle relâcha les cheveux de Paul et réalisant peut-être qu'elle se trouvait nu devant cet a d o l e s c e n t ,elle ramassa à la hâte, sa jupe et sa culotte et disparut en vitesse en claquant la porte.
Paul se retrouvait la tête en l'air, toujours nu et attaché solidement à la table.
- Mme, je vous en prie, détachez moi, j'ai horriblement mal aux fesses et je commence à avoir des crampes dans la nuque.
Mme Guérin, comprenant qu'il fallait maintenant arréter de le punir, s'approcha de la table et le déliat en quelques secondes.
Paul se mit debout en se frottant les fesses avec les mains.
- Madame, est ce que je peux vous demander de ne jamais parler de ce qui vient de se passer ici ?
Ravie de la proposition, qui de son coté lui assurait l'impunité, elle lui répondit un "Oui" qui ne souffrait aucune incertitude.
La porte s'ouvrit de nouveau. La concierge, sourire au lèvres tenait à la main un short de garçon qu'elle avait du récupérer dans un vestiaire.
- Prends le, c'est pour toi. Chose promise chose due. Tu vas pouvoir sortir d'ici de manière présentable.
Paul ne se fit pas prier, il enfila le short un peu grand, et serra la ficelle autour de sa taille comme si cela lui assurait une sécurité indispensable pour sortir de la conciergerie.
Mme Guérin le prit par le bras et sans attendre l'accord de la concierge, elle le poussa hors de la pièce en le suivant de près.
Dans le hall, il y avait encore des jeunes d'autres lycées et collèges, mais ils ne firent pas attention à lui. Après quelques trop longues secondes de marche dans le long couloir, il arrivât devant le vestiaire des garçons qui lui rappelait le début de son cauchemar.
Il y pénétrât. Personne à l'intérieur, tous les élèves étaient depuis bien longtemps entrain de nager en se racontant à n'en pas douter le sublime bizutage qu'ils venaient d'infliger à celui qu'ils allaient pouvoir désormais appeler "petite bite".
Paul n'avait d'autre alternative que d'attendre le retour des élèves, et il savait par avance que les réflexions et les humiliations allaient continuer. Le plus difficile serait certainement de croiser le regard des filles.
Les jours, les semaines et peu-être les mois à venir allaient être difficiles pour lui.
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